mardi 9 août 2016

Les bons d'État ne sont pas des investissements sans risque selon la Cour Européenne des Droits de l'Homme

La Cour Européenne des Droits de l'Homme (CEDH) fait voler en éclat une notion communément admise selon laquelle les emprunts d'États sont les investissements sans risque.
Cette notion fondamentale d'économie remet en question le modèle économique actuel.

Voilà que pendant mes vacances je tombe sur cette nouvelle que pratiquement aucun média classique ne reprend: ce 21 juillet 2016, en plein milieu des vacances d'été la Cour Européenne des Droits de l'Homme a rendu son verdict dans l'affaire Mamatas.

Probablement que ce nom ne vous dit rien: c'est le recours engagé par 6.311 Grecs détenteurs d'obligations d'État de leur pays, lesquels titres que la Troïka a décidé d'annuler purement et simplement, alors même que les banques qui possédaient des titres similaires se voyaient offrir la garantie d'un remboursement.

Ils n'ont malheureusement pas obtenu gain de cause et se sont fait débouter.

Le texte intégral de l'arrêt est disponible en Français ici: Affaire Mamatas et autres c. Grèce.


L'Épargne des ménages est plus que jamais sujette à tous les risques.
Dans son exposé, la cour s'étend en long et en large sur le caractère risqué de l'investissement effectué par les plaignants en citant notamment:
117. De plus, la Cour considère qu’un investissement en obligations ne peut être exempt de risques.
 Je tiens quand même à rappeler qu'en Droit, la Loi est une chose mais son interprétation est du seul ressort des cours et tribunaux. Cela est très important du coup lorsque une Cour émet un jugement qui remet en question des notions communément admises. Du coup un jugement a une force supérieure à la Loi.

En plus du scandale nauséabond à laquelle la CEDH s’adonne en déboutant les petits porteurs, légitimant le vol des fonds qu'ils ont prêté à leur gouvernement, c'est toute la Science Économique et la Doctrine Keynésienne qui vient d'être remise en question.

En effet, en économie il est communément admis que

jeudi 26 mai 2016

Crise de 2008 : les banques coupables de génocide humain ?

Le chiffre est tombé : la crise de 2008 a provoqué plus de 500.000 morts qui sont directement imputables à cette catastrophe causée à l'origine par la cupidité des banquiers.

On n'a pas fini de faire l'inventaire des dégât provoqués par la crise de 2008 et le dernier chiffre en date fait froid dans le dos: cette crise serait responsable de plus d'un demi-millions de morts supplémentaires.

Tout est expliqué dans cet article de la très sérieuse revue de vulgarisation scientifique Science et Avenir. 
http://www.sciencesetavenir.fr/sante/cancer/20160526.OBS1271/la-crise-economique-de-2008-serait-responsable-de-500-000-morts-par-cancer.html

Ce qui étonne par ailleurs c'est l'ampleur du désastre et le soin tout particulier qui a été mis à identifier spécifiquement les cas clairement liés aux effets de la crise. Les morts sont de deux causes principales: cancer et suicide.

D'après cette étude, on compterait plus de 260.000 morts supplémentaires par cancer au sein de l'OCDE et 500.000 au niveau mondial.

Le Chômage est une raison principale entraînant l'augmentation de la mortalité. Il a été calculé que 1% de chômage générait un mort supplémentaire par 300.000 habitants. 

Les décès les plus fréquents sont du cancer et des maladies cardio-vasculaires dont l'augmentation des cas sont directement liés à la croissance du chômage. Les trois raisons les plus évidentes sont : la diminution de l'accès aux soins de santé, dont les couvertures sociales sont dépendantes de contrats de travail, les mesures d'austérité dans le secteur de la santé et la baisse du pouvoir d'achat qui contraint les gens à moins bien se nourrir.


Donc voilà maintenant preuve scientifique est faite que ceux qui ont provoqué la crise de 2008 ont provoqué indirectement suffisamment de décès pour qu'on puisse parler de génocide à l'échelle planétaire.

Les banquiers responsables de la crise seront-ils un jour jugés pour Crime Contre l'Humanité ?

vendredi 15 janvier 2016

Pourquoi l'or ne monte-t-il pas lorsque tout baisse ?

Malgré la baisse des marchés, l'or ne semble pas montrer de signe de hausse. 

Ci-après je vous livre un article que j'ai soumis à une question en tentative de réponse à cette question qui fleurit sur les forums actuellement:


On peut dire que l'année commence for sur les places financières: les bourses ont commencé à montrer des signes de faiblesse, la bourse de Shanghai a même du être suspendue pendant un jour entier pour cause de baisse prononcée - on de dit plus crash car cette notion a été quasiment éradiquée par tous les coupe-circuits instaurés un peu partout - les matières premières continuent leur lente descente aux enfers menées par le pétrole dont la chute semble imparable.  


Cependant, l'or qui jouit d'une réputation de "valeur refuge", ne semble pas réagir en conséquence comme beaucoup semblent s'y attendre. Les partisans de la Relique Barbare (ceux qui considèrent l'or comme obsolète comme placement) y voient un argument supplémentaire pour déverser leur fiel sur les goldeux et autres supporters de l'or que nous sommes.

L'or fait-il toujours office de valeur refuge ?


Néanmoins, c'est une question classique que nous rencontrons avant chaque période de turbulences.

Voici ma tentative de réponse :

vendredi 8 janvier 2016

Meilleurs Vœux Pour 2016 !

En ce début d'année, c'est avec plaisir que je vous présente mes meilleurs voeux pour l'année nouvelle.
Pour ce faire, je vous ai même préparé une petite photo:


Comme il se doit je vous souhaite le succès, la santé et le bonheur. Comme le savent bien ceux qui me suivent sur ce blog et les forums dans lesquels je suis actif, cette année risque d'être bien plus difficile que ce qu'on pourrait le croire et donc on n'en aura jamais assez de s'entourer d'énergie positive qu'on dégage en se souhaitant mutuellement des vœux positifs et sincères.
N'oubliez pas de vous inscrire à ma liste, je vous promet du contenu exclusif cette année.
A bientôt !
Marc.

mercredi 9 septembre 2015

La guerre du cash est déclarée, mais pas pour vous le voler... enfin pas tout de suite.

Mesdames, si il devient de plus en plus évident que l’abolition du cash est une réalité qui prend forme, il n'en n'est pas moins que les raisons qui motivent ce mouvement n'en demeurent pas moins mécomprises. (j'entends par là méconnue et/ou incomprises).

Certes le raccourci le plus facile - et donc emprunté par la plupart- consiste à se méfier que le passage au "tout électronique" met le fruit de votre labeur à la merci des sous-traitants du système ainsi qu'aux donneurs d'ordres: les banques, les États et ses ministères de plus en plus gourmands et d'une société bureaucrate dont l'Administration devient la seule raison de vivre.

"ils vont vous voler vos économies !"
Ce à quoi ils répondent: "il n'y a que les criminels qui ont quelque chose à cacher qui utilisent encore du cash !"
etc.

La vraie raison qu'on peut identifier lorsqu'on creuse un peu plus est d'une toute autre nature.

mercredi 1 juillet 2015

Pourquoi l'or ne monte-t-il pas avec la crise Grecque ?

Dimanche soir, l’annonce de la fermeture des banques grecques dès lundi matin a donné une lueur d’espoir aux détenteurs de positions en or. Un remake de la crise chypriote de 2013, qui a vu l’or s’apprécier en son rôle de valeur refuge.

On en est au troisième jour de ce nouvel épisode de ce qu’on peut dorénavant appeler la Crise Grecque 2015 et pourtant l’or ne monte pas. Au lieu de cela, on le voit même baisser.

Évolution du cours de l'or depuis le début de la semaine du 29 juin 2015
©goldprice.org


Hier soir, le Gouvernement grec a même officiellement fait défaut sur son échéance du jour, une dette qu’il devait rembourser au FMI. A notre plus grand désarroi, cette annonce a fait l’effet d’un pétard mouillé sur les cours des métaux précieux.

Alors que se passe-t-il ?

Petit résumé de la situation en 5 points :

mardi 30 juin 2015

7 raisons pour lesquelles la Grèce va quitter la zone Euro

Ce n'est plus qu'une question de temps avant que la Grèce quitte la zone Euro 


Une fois de plus la tragédie grecque qui est en train de se dérouler est accompagnée du florilège habituel d’avis simplistes bien plus illuminés qu’éclairés.

J’attends de voir le premier qui va rassembler dans la même émission/le même article les bonnes raisons pour lesquelles on ne peut logiquement continuer à espérer un maintien de la Grèce dans la Zone Euro.

On devrait se préparer à voir la Grèce quitter l'Euro et reprendre sa Drachme, et ce pour de bonnes raisons inspirée par le bon sens.

Préparez-vous à voir la Drachme réapparaître en Grèce.

Voici donc mes 7 raisons pour lesquelles la Grèce va quitter la zone Euro :

mardi 23 juin 2015

Bulle de vélocité: À ce train-là, l’inflation n’est pas prête à décoller !

Les stats dont on ne parle jamais: la Vélocité de la Monnaie.


Aujourd’hui je vais partager avec vous un petit graphique retrouvé ou détour d’une de mes ballades sur le site officiel de la Fed de St Louis, cette filiale de la banque centrale américaine chargée de faire les Études Économiques.

Le graphique ci-dessous représente l’évolution de la vélocité de la monnaie.
En termes simples, c’est la vitesse de circulation de l’argent dans l’économie.
Cette donnée est considérée comme une des composantes essentielles qui influence l’inflation.

L’équation théorique de l’équilibre monétaire qui mène à la compréhension de l’inflation est M V = Q P, autrement dit : la taille de la masse monétaire et la vitesse de la masse monétaire est égale au montant total des prix de tous les biens échangés sur un marché.

La variation du niveau des prix est ce qu’on appelle l’inflation, lorsque les prix montent et la déflation lorsque les prix baissent.

L’équilibre représenté par cette équation est sensé rester stable si on veut une inflation basse. Dès lors, la masse monétaire et la vitesse de circulation de la monnaie doivent s’adapter à la production de biens proposés sur le marché.

Par exemple, toutes choses étant égales par ailleurs,
Si le prix monte, alors les quantités vont baisser et vice-versa
Si la vitesse de circulation augmente, les prix vont monter,
Et cetera.
C’est une équation à 4 inconnues et chacune d’entre elle a son influence propre sur les autres.

Or, dans l’actualité économique de ces dernières années on ne vous parle seulement que de 3 d’entre elles :
-          Q : La quantité des biens, c’est le PIB, ne niveau de production industrielle
-          P : c’est le niveau des prix, l’inflation ou la déflation (terme de plus en plus à la mode)
-          M : c’est la masse monétaire, qui ne cesse de gonfler sous l’effet des mesures d’assouplissement quantitatif, autrement dit : actionner la planche à billets.
Et la vélocité dans tout ça ?

Et bien pour les USA, la voici :


lundi 8 juin 2015

Faut-il vendre son or ?

Faut-il vendre son or ?

En ces temps difficiles où on voit les bourses du  monde entier battre des records en pagaille et au marché immobilier bouillonnant, on en vient naturellement à se poser des questions sur ses choix d’investissements passés.

Actuellement, celui qui cherche a rentabiliser un investissement n’a plus guère de choix : les taux incroyablement bas ont réduit les rendements des obligations à quasiment rien, sans parler des rendements symboliques des comptes d’épargne.

L’or s’est fait remarquer dans les années 2000-2010 durant lesquelles il a connu une croissance de son cours quasiment ininterrompue. Sur le long terme, il a constitué un bon rendement qui l’a placé côte à côte avec les placements dit « sans risque ».
Depuis sa déconfiture, l’or a plongé de 1920$ l’once à 1150$ et ceux qui ont investi dans cette matière au plus for de l’euphorie s’en sont quelque peu mordu les doigts.

Si vous détenez encore de l'or, vous n'avez pas encore perdu !

Si vous n’avez pas encore vendu, sachez que votre perte est virtuelle, tout comme celui qui a acheté une action qui a triplé de valeur n’est pas plus riche tant qu’il n’a pas vendu.


mercredi 3 juin 2015

La hausse des taux rend-elle vraiment les investissement en or moins attractifs ?

La dernière décision de la Fed de ne pas relever les taux ne m’as pas surpris du tout, surtout au regard des conclusions auxquelles je suis arrivé dans un article précédent et qui m’ont convaincu que la Fed n’augmentera ses taux uniquement lorsqu’elle en sera contrainte et forcée.

Cependant je lis beaucoup d’analystes qui déclarent que la perspective de hausse de taux dans laquelle on se trouve rend les investissements en or moins attractifs.
Pour appuyer cette affirmation, ils soulignent que l’or ne procure aucun rendement.

Laissez-moi donc y apporter mes clarifications :

Ceux qui sont à la recherche de rendement ne s’intéresseront jamais à l’or, donc un investissement dans cette matière inerte n’a jamais été attractive pour ces gens-là. Vous enfoncez des portes ouvertes en déclarant que les Zinzins se détournent de l’or pour cause d’absence de rendement.


Même en ces de rendements négatifs, ils se tiendront loin de l’or car le jour où ils y investiront dans les mêmes proportions que leurs investissements en actions et obligations, ce sera pour deux uniques raisons :
  1. La spéculation : ils joueront la hausse du cours de l’or et cela se fera dans un contexte dans lequel celle-ci ne fera plus aucun doute pour tous. On a connu une telle période durant les années 2000-2009 et cependant très peu d’entre eux se sont aventurés sur la voie dorée ;
  2. La protection de valeur : si un jour tous les autres actifs voient leur valeur s’effondrer, ce sera le sauve-qui-peut vers les valeurs refuges dont l’or en est le premier choix. Lors du début d’effondrement du système suite à la faillite de la banque des Frères Lehmann, le monde a anticipé une réaction en chaîne qui aurait affecté l’ensemble du monde bancaire et par conséquent l’ensemble de l’économie mondialisée. Les Gouvernements ont évité la catastrophe, mais à quel coût ?

La situation d’alors n’a que peu évolué et on est toujours assis sur la même poudrière qu’en 2008. Le système est toujours soumis aux mêmes risques d’effondrement, exception faite que l’effet levier des moyens mis en œuvre pour éviter la catastrophe depuis risquent de multiplier les effets d’une étincelle.

Depuis quelques années on nous rabâche les oreilles que la crise est passée et le monde est en passe de retrouver la croissance. On serait sur le point de retrouver les niveaux « d’avant 2008 ». On le voit mêmes sur les cours du pétrole qui ont bien retrouvé des niveaux d’avant la crise.

Dès lors si c‘était vraiment vrai, le monde n’aurait plus besoin d’or. Pourquoi son cours n’a pas retrouvé le niveau d’avant 2008 ?

Pour rappel, l’or avait clôturé l’année 2007 aux alentours de 825$ l’once. Depuis un peu plus de deux ans il flotte aux alentours de 1.200$.

Les deux points cités plus haut représentent pour moi les deux grandes catégories d’investisseurs en or : 1 les spéculateurs et 2 les conservateurs.

Lorsque l’or a atteint les 1920$ l’once, cela a été grandement à cause des investisseurs du premier ordre.

Les investisseurs du 1er ordre n’achètent pas la matière physique. Ce serait trop contraignant pour eux à manipuler car une position spéculative doit pouvoir s’ouvrir et se fermer rapidement. C’est pourquoi ils investissent massivement dans l’or papier et les ETF. 
Donc quand on souligne que les ETF ont encore réduit leurs stocks et que ceux-ci sont au plus bas, je me réjouis : c'est le signe que les spéculateurs se lassent. Au passage, en voyant les faibles performances spéculatives du métal jaune depuis le crash d’avril 2013, je me demande pourquoi ils ne sont pas parti plus tôt.

Cependant, force est de constater que depuis le début de la fin de la crise, les investisseurs du second ordre ne se sont pas encore lassés.
Ce sont eux qui font les cours et qui le soutiennent. Ce sont des durs à cuire « à qui on le la fait pas ».

La hausse des taux, une aubaine pour l’or ?

Comme je l’ai démontré dans mon article La menace de la Hausse Des Taux, ou comment la FED se tourne en ridicule, une hausse des taux serait terriblement dommageable aux détenteurs d’obligations, dont les plus gros sont les banques, les fonds de pension publiques et privés et les assureurs. Ces institutions constituent l’épine dorsale de notre économie crony-capitaliste.

Dès les premiers QE (Plans d'assouplissements Quantitatifs), ce sont les seuls qui en ont vraiment profité – normal vu que ce système a été conçu exclusivement pour eux – et ils n'ont rien trouvé d'autre à faire que de se gaver d’obligations d’état à rendement quasi nul au lieu de prêter cet argent aux entreprises pour leurs investissements. 

Les rares sommes qui ont été prêtées aux entreprises, était destinées à financer leurs programmes de « Shares Buy-Back », ces rachats d’actions dont les volumes ont atteint des sommets astronomiques et qui ont ainsi soutenu les marchés boursiers vers les sommets qu’on connaît actuellement alors qu’aucune richesse n’a été créée en contrepartie dans le monde réel.

La hausse des taux dans un premier temps, risque d’attirer les investissements de détenteurs de liquidités vers les placements rémunérateurs d'intérêts (comptes, obligations) qui n’auraient de toute façon jamais investi dans l’or vu qu’ils sont à la recherche de rendements.

Les Décideurs bancaires n'ont d’ailleurs intérêt à ne pas rater leur coup et faire en sorte que les liquidités ainsi attirées vers les comptes de dépôt contrebalancent la perte en valeur de marché des titres d’obligations détenus en portefeuille pour les institutions financières, sinon c’est la faillite garantie… à nouveau. Et cette fois-ci les États ne pourront plus voler à leur secours avec autant d’amplitude qu’auparavant.

Donc moi je dis qu’une hausse des taux sera à terme très bénéfique à l’or, surtout si elle est soudaine et de grande amplitude.

La Fed a promis qu’elle respecterait son programme de remonter les taux d’ici 6 mois.
Je vous parie que ce ne sera pas le cas, en tous cas jamais de sa propre initiative.
Ou alors éventuellement elle le fera tout en douceur, par coups de 0,25% ou moins à la fois, très espacés dans le temps.

Que se passera-t-il lorsque les taux monteront ?

Les gens vont revoir l’arbitrage qu'ils font avec leur revenu entre « Consommer Maintenant » et « épargner »  et une partie du PIB va passer du premier au second choix.

Du coup, la monnaie en circulation va perdre en volume et en vélocité, ce qui va causer une baisse de la consommation, provoquant au passage une baisse de l’activité économique. Donc un ralentissement de la Croissance.

C’est pour cela qu’ils sont pris au piège.

Et c’est pour cela surtout qu’ils multiplient les signaux contradictoires : "c’est la déflation mais avec une petite reprise mais la crise est terminée...".

J’ai d’ailleurs bien ri la semaine dernière en constatant que la consommation des ménages avait progressé de 0% alors que la croissance était de 0,7%. Heuu… la croissance de quoi au juste vu qu’il n’y a eu aucune croissance des ventes ?

J’ai beau tourner le problème dans tous les sens et j’en arrive toujours à la conclusion que quelle que soit l’issue qu’ils choisissent, au final elle sera favorable à l’or. 

Et comme toujours, il faudra s'armer de patience.

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